TOUSSAINT

Numéro

776

Prénom

François Vincent

Naissance

1715

Décès

1772

1. État-civil

François Vincent Toussaint, connu aussi sous le pseudonyme de Panage, est né le 21 décembre 1715 à Paris, fils d'un savetier, dans la paroisse de Saint-Paul. Il se maria en 1744 ; son épouse qu'il perdit au bout d'un an de mariage lui laissa une fille qui mourut à l'âge de quinze ans. Il épousa en secondes noces la fille d'un Suisse du Palais-Royal ; il eut dix enfants de ce mariage. Il mourut le 22 juin 1772 a Berlin d'une fièvre lente en laissant deux filles et un fils ; « laisse une femme, plusieurs enfants», écrit de Leipzig Huber en 1772 (B.N., n.a.fr. 14898, f° 173). Une note de police de 1749 donne son signalement : moyenne taille, blond, physionomie commune et marquée de la petite vérole. Domiciles connus : 1749-1750 : rue Saint-Jacques, deuxième porte cochère à main gauche passé la rue des Noyers, boutique de Durand libraire (Ars., ms. 10302), au troisième sur le derrière (note de police) ; 1756 : rue du Cimetière Saint-André ; 1757 : rue d'Enfer à l'entrée ; ces deux dernières adresses figurent sur la page de titre des Observations périodiques.

2. Formation

Il fut élevé avec «une tendresse industrieuse» par son père pour qui il conserva toujours une grande affection et qu'il proposait comme modèle aux autres parents (Mœurs, chap. III). Il reçut une formation janséniste et bien que plus tard il se soit détourné de cette morale austère, il garda de l'admiration pour Nicole et les Port-Royalistes (Eclaircissements, p. 52). Il avait un grand penchant pour l'étude, acquit une bonne culture classique, se perfectionna dans la langue anglaise et plus tard dans l'allemande. Il était d'un caractère doux et tranquille, ce qui est attesté par tous ceux qui l'ont connu. De lui-même, il disait : «Mon air modeste et sans prétention m'a toujours nui auprès des sots» (C).

3. Carrière

Son amour des lettres se manifesta chez lui de bonne heure ; à dix-sept ans, il pouvait déjà tirer parti de ses connaissances (Eloge de Formey). Il pensa d'abord embrasser l'état ecclésiastique, mais le célibat ne lui convenait pas ; il fit des études de droit et fut reçu avocat au Parlement de Paris à l'âge de vingt-six ans (1741) ; il fut obligé d'abandonner cette carrière car la faiblesse de sa poitrine ne lui permettait pas de soutenir des plaidoiries. Il se mit alors à travailler pour les libraires et s'associa avec Diderot et Eidous pour la traduction du Dictionnaire de médecine du Dr James ; puis il collabora à l'Encyclopédie. On lui doit les articles de jurisprudence des deux premiers tomes du Dictionnaire. En 1748 parurent Les Mœurs, ouvrage qui eut un immense retentissement : «trop connu par son livre impie», écrit l'abbé Goujet à propos de T. (n.a.fr., 1013, p. 647). Sur la recommandation de Formey, historiographe de l'Académie de Berlin depuis 1745 et son secrétaire général depuis 1748, T. fut élu membre étranger en même temps que Diderot et Tronchin le 4 mars 1751. Après avoir quitté l'Encyclopédie, il se consacra à la traduction d'ouvrages anglais et traversa une période difficile. Il entra dans le journalisme à partir de juin 1754, en assumant la direction du Journal étranger. Pour des raisons que l'on devine - difficulté de se procurer des livres étrangers, de trouver des traducteurs capables, dissensions parmi les directeurs du journal - il abandonna ce travail à la fin de novembre 1754. En 1756, il s'associa avec le fils de Jacques Gautier d'Agoty aux Observations périodiques. Il n'est pas possible de fixer exactement la date à laquelle T. et sa famille quittèrent la France pour s'installer à Bruxelles, probablement vers la fin de 1760 ou début 1761. Il reprit en main l'officieuse Gazette française des Pays-Bas rédigée par l'escroc Maubert de Gouvest qui venait de prendre la fuite (C). Frédéric II, qui avait apprécié les Mœurs, rechercha ses services. T. quitta Bruxelles « abreuvé d'humiliations et d'amertume » (C). En octobre 1764, il se vit offrir la chaire de rhétorique et de logique à l'Académie des Nobles de Berlin. Frédéric II avait lui-même tracé les grandes lignes de l'enseignement qui devait s'y donner. T. prononça son discours de réception le 6 novembre 1764. Malheureusement, il tomba en défaveur auprès du roi qui ne goûtait guère son ton familier et son esprit de contradiction. Il trouva néanmoins un protecteur en la personne du prince Henri, second frère du roi, dont il devint le lecteur et le bibliothécaire en remplacement de M. de Francheville. T. s'acquitta consciencieusement de sa tâche à l'Académie des Nobles et fit les discours d'usage à l'Académie de Berlin. Si l'on en croit Dieudonné Thiébault, il se repentit à la veille de sa mort d'avoir scandalisé le monde par ses opinions dangereuses pour la religion (t. V, p. 77). T. était très lié avec Rémond de Saint-Mard qui promet, en juin 1749, de le faire travailler (Ars., ms. 10309), et l'abbé Trublet (T, t. IV, p. 99) mais il compta peu de protecteurs en France. Cependant, au moment même où il fut attaqué par la Sorbonne pour son livre des Mœurs, il put éviter les poursuites grâce à la protection de Maurepas que le comte de Caylus sollicita en sa faveur (note de police). A l'époque, «Il est d'une société littéraire qui s'assemble chez le comte de Caylus son protecteur. Après avoir composé ce traité, il le fit lire au comte et à M. de Maurepas en manuscrit, qui en furent charmés l'un et l'autre» (Tomlo à Marchand, 24 juin 1748, B.U. Leyde, March. 2).

4. Situation de fortune

T. avait la réputation d'être «un panier percé» (T, t. V, p. 118). Il commença, comme Diderot, par devenir traducteur à gages. Quand le succès lui vint, il ne sut guère en tirer parti ; il vendit son manuscrit des Mœurs pour 500 £ au libraire Durand qui en tira 10 000 £ (note de police). Pour sa participation à l'Encyclopédie, il reçut en 1746 une augmentation de 300 £ ; les années suivantes, il fut remboursé de ses dépenses et toucha une somme de 558 £ pour la correction des épreuves des deux premiers tomes (May). Le Journal étranger aurait pu lui fournir un revenu substantiel s'il n'avait brusquement interrompu son travail. Entre 1754 et 1761, il vécut d'expédients. En 1759, il acheta à un imprimeur de Provins 400 exemplaires de L'Esprit d'Helvétius en édition contrefaite qu'il paya en billets et négligea d'acquitter par la suite (n.a.fr., 22094, pièce 64, f° 188 v°). A Bruxelles, François Claudinet, promoteur de la Gazette française des Pays-Bas, lui offrit 900 florins, plus 200 florins pour les frais de composition et de correspondance (C). A Berlin, sa chaire à l'Académie des Nobles lui rapportait 500 écus par an, ce qui ne l'empêchait pas d'emprunter de l'argent (T, t. IV, p. 118). A sa mort, il laissa sa famille dans le dénuement.

5. Opinions

T. a toujours fui la polémique. Il attendit presque quatorze ans avant de répondre aux attaques de ceux qui le vilipendèrent après la publication des Mœurs. «Chacun a jugé l'ouvrage suivant ses principes, les gens du monde avec indulgence ; les théologiens avec sévérité ; quelques gens de lettres avec mauvaise foi». Jamais il n'élèvera le ton plus haut. Quand il assuma la direction du Journal étranger, les auteurs des Nouvelles ecclésiastiques firent un procès d'intention au journal : «II ne faut pas avoir des vues bien perçantes pour comprendre que le projet des nouveaux journalistes, est de nous donner à la faveur de leur journal, tout ce qui s'exprime en Angleterre et ailleurs de contraire à la religion». Les mêmes auteurs accusèrent T. d'être l'auteur de l'article «Autorité» du premier volume de l'Encyclopédie : «c'est cet article qui a donné lieu à l'arrêt du Conseil d'Etat de supprimer le Dictionnaire comme contenant des maximes tendant à détruire l'Autorité Royale et à établir l'esprit d'indépendance et de révolte» (3 juil. 1754, p. 106-108). Cette accusation était sans fondement ; l'article avait été rédigé par Diderot comme l'attestent Grimm et Deleyre (C.L., t. II, p. 299 ; Leigh, n° 415, lettre de Deleyre à Rousseau du 3 juil. 1756). T. ne présenta aucune défense, il laissa ce soin aux directeurs du Journal étranger (Réponse des auteurs du Journal étranger à la feuille des Nouvelles ecclésiastiques, 1754).

6. Activités journalistiques

En arrivant au Journal étranger en 1754, T. prenait la succession de Grimm qui se montra satisfait, car il jugeait T. «homme d'esprit, sage, instruit, laborieux» (C.L., t. II, p. 145). Mais quand T. abandonna le périodique, Grimm lui reprocha d'avoir fait le journal « tout doucement et passablement mal» (C.L.,t. II, p. 437). Pourtant, en parcourant les feuilles qui furent rédigées par T., on constate qu'il apporta une grande diversité dans le choix des articles sur des sujets tirés de l'anglais, de l'italien, de l'espagnol et de l'allemand.

En 1756, il revint au journalisme en s'associant avec le fils de Jacques Gautier d'Agoty qui, depuis 1752, dirigeait les Observations sur la physique, l'histoire naturelle et la peinture (D.P.1 1089). Ce journal reparut avec un titre modifié : Observations périodiques sur la physique, l'histoire naturelle et les arts ou Journal des sciences et des arts, avec des planches imprimées en couleur par Gautier fils. Ce périodique devait paraître par cahier mensuel de dix feuilles d'impression. Les cahiers formaient deux volumes in-40 par année. Cette association ne donna pas les résultats escomptés, le public désirait qu'une même main prît la direction du journal (Avis concernant la continuation des Observations périodiques). Gautier céda ses droits à T. qui devint le seul éditeur en 1757, année pendant laquelle parurent les deuxième et troisième tomes. Dans l'intention de T., cette publication devait marquer les progrès de la raison et faire état des nouvelles découvertes, entretenir des correspondances avec l'étranger. Ce grand projet n'aboutit pas, T. cessa la publication à la fin de 1757.

Au mois d'octobre 1772, parut le premier tome du Journal littéraire dédié à Frédéric II, rédigé par plusieurs membres de l'Académie royale de Berlin. Dieudonné Thiébault, l'instigateur de cette nouvelle entreprise littéraire, a écrit que ceux qui y travaillèrent régulièrement étaient «Castillon père et fils, Toussaint et moi» (T, t. III, p. 155) T. s'est peut-être intéressé au projet mais il est douteux qu'il y prit une part active puisqu'il mourut en juin 1772 après une longue maladie.

7. Publications diverses

Mémoires secrets pour servir à l'histoire de Perse, Amsterdam, 1745. Sous l'affabulation d'une histoire orientale, ces Mémoires racontent l'histoire de ce qui s'est passé à la cour de Louis XV. Ce livre souleva une grande curiosité, il s'en fît huit éditions entre 1745 et 1763. Sous le nom pseudo-oriental de Coja-Sefrid, T. a fait un portrait très sévère de Voltaire. Imprimé sans permission, le livre fut prohibé et confisqué chez les libraires qui le vendaient sous le manteau (Ravaisson, t. XII, p. 275). Cet ouvrage fut attribué successivement à Pecquet, La Beaumelle, Mme de Vieuxmaison et aussi à Voltaire (Fould, p. XCVII-CIII). En 1746. parurent les Anecdotes curieuses de la Cour de France sous le règne de Louis XV qui ne sont autres que les Mémoires secrets avec les noms des personnages donnés en clair. La B.N. possède la copie faite à la main du manuscrit original avec la mention sur la page de titre : par M. Toussaint, auteur des Mœurs (ms. 13781). – Les Mœurs, ouvrage qui parut sous le nom de Panage, en 1748, à Amsterdam, était accompagné d'une simple dédicace à Madame A.T.***. Il fut jugé par la Cour du Parlement de Paris comme «contraire aux bonnes mœurs, scandaleux, impie et blasphématoire » car « le but qu'on s'y propose est d'établir la Religion naturelle sur les ruines de tout culte extérieur et d'affranchir l'homme des lois divines et humaines, pour les soumettre uniquement à ses propres lumières» (ms. Anisson Duperron, 22092, f° 125-126). Cette censure sévère eut pour conséquence de rendre le livre extrêmement populaire : «Je suis enfin parvenu à avoir le livre des Mœurs que l'arrêt du 6 mai a rendu bien rare et très cher», écrit Barbier. «Il faut dire que peu de personnes avaient songé à ce livre, au lieu qu'il n'y a personne à présent, dans un certain monde, hommes et femmes se piquant de quelque esprit qui n'ait voulu le voir. Chacun se demande : Avez-vous lu les Mœurs ? Un seul exemplaire passe rapidement dans cinquante mains » (t. III, p. 34). – Eclaircissements sur les Mœurs, Amsterdam, 1763, in-12. – Traductions : Dictionnaire universel de médecine, traduit de l'ouvrage du Dr James : A médical dictionary with a history of drugs, 1746. Les libraires Briasson, David et Durand chargèrent Diderot, Eydous et T. «connus par la grande intelligence qu'ils avaient de l'anglais» de cet ouvrage. – Essai sur le rachat des rentes et redevances foncières, trad. de l'anglais, Londres, 1751. – Histoire des passions ou aventures du Chevalier Shroop, La Haye, 1751, 2 vol., trad. par T. (Ars., ms. 10301). On a cru que cet ouvrage était de l'invention de T. Il semble cependant être adapté du roman d'Eliza Haywood : Progress through the passions or the adventures of nature ( 1748). – La Vie et les aventures du petit Pompée, Amsterdam, 1752, trad. du roman satirique de Francis Coventry : Pompey the Utile, or the adventures of a lapdog ( 1751). Le censeur Bougainville avait fait quelques retranchements à la trad. de T. et accordé une permission tacite (B.N., f.fr. 22137, f° 33). – Histoire et aventures de Sir William Pickle, Amsterdam, 1753, trad. du roman picaresque de Smollett intitulé Peregrine Pickle (1751). – Recueil d'actes et de pièces concernant le commerce de divers pays de l'Europe, 1754. Cet ouvrage, qui devait paraître sous forme de périodique, donnait la traduction des discours prononcés au Parlement d'Angleterre dans la Chambre des Pairs pour et contre la liberté du commerce au Levant. Seul le premier numéro fut publié, il n'y eut pas de suite. – Extrait des œuvres de M. Gellert, contenant ses Apologues, ses fables et ses Histoires, trad. de l'allemand par T., dédié au prince Henri de Prusse, 1768. – L'Anti-Thérèse ou Juliette philosophe, nouvelle messine véritable, par M. de T***, La Haye, 1750. Ce roman dépeint les aventures d'une héroïne que les circonstances poussent au libertinage comme dans la troisième partie de Thérèse philosophe (1748) attribuée tantôt à Diderot, à Montigny ou à d'Argens. Selon H. Fromm (Bibliographie deutscher Übersetzungen aus dem Französischen, 1700-1948, Baden-Baden, 1950- ), L’Anti-Thérèse serait de T. L'attribution reste incertaine.

On mentionnera enfin la collaboration de T. à l'Encyclopédie pour les articles de jurisprudence dans le t. I (J. Proust, Diderot et l'Encyclopédie, Paris, A. Colin, 1962, p. 59, 129, 527).

8. Bibliographie

Notes de police sur les écrivains français de l'inspecteur Hémery, B.N., n.a.fr. 10783, f° 124. – Ars., ms. 10300, 10301, 10302. – (C) Charlier G., «Un encyclopédiste à Bruxelles», Annales Prince de Ligne, t. XVII, 1937, p. 5-22. – Formey, Eloge, Esprit des Journaux, déc. 1775, t. XII. – T., Anecdotes curieuses de la Cour de France sous le règne de Louis XV, éd. P. Fould, 2e éd., 1908, notice sur T. – La Harpe, Philosophie du XVIIIe siècle, Paris, 1821. – May L.P., Documents nouveaux sur l'Encyclopédie, Paris, 1938. – Pellisson M., «Toussaint et le livre des mœurs». Révolution française, t. XXXIV, 1898, p. 384-402. – (T) Thiébault D., Mes souvenirs de vingt ans de séjour en Prusse, Paris, 1804. – Kafker F.A. et S.L., The Encyclopedists as individuals, S.V.E.C. 257, 1988.

9. Additif

Carrière: Les archives policières permettent de préciser la biographie de Toussaint autour de 1749. Domicile :

Avant de loger rue Saint-Jacques (rapport d’Anne-Louise Morel, femme La Marche, du 22 avril 1749, Ars. 10301 et Ars. 10302, cité dans la notice), il habitait « sur l’Estrapade » avec Pierre-Thomas-Nicolas Hurtaut (rapport de Louis-François Bonnin du 29 mai 1748, Ars. 10301).

Opinions: Nouvelle édition clandestine des Mœurs en 1749 :

Après avoir vendu le manuscrit au libraire Durand qui en confia l’édition à l’imprimeur Delespine en 1748, Toussaint fit faire en 1749 une nouvelle édition de son best-seller à l’imprimerie clandestine duplice tenue par Louis-François Bonnin et Michel La Marche. Plusieurs rapports évoquent les aléas d’une entreprise où Toussaint se présenta d’abord sous le pseudonyme de Durand, par l’intermédiaire de Marie Le Fort, veuve Foliot, vendeuse de livres place du Vieux Louvre, personnage pivot de l’édition clandestine parisienne. Il bénéficiait dans ce projet de l’appui de Toussaint Rémond de Saint-Mard (n.a.fr. 1311, f° 10, Ars. 10301).

Liens avec Diderot et le « groupe de l’Estrapade »

Au moment de son incarcération en 1749, Diderot fut interrogé sur Les Mœurs qu’on lui attribuait. De cette confusion témoignent aussi les éditions associant les Pensées philosophiques et Les Mœurs, ainsi que les réfutations liant les deux ouvrages. Il est intéressant de remarquer que cette proximité fut aussi géographique et intellectuelle. Pendant un temps (autour de 1748), Diderot, Toussaint mais aussi Hurtaut logèrent tous sur la petite place de la Vieille Estrapade et collaborèrent ensemble à différents ouvrages. Un groupe les réunissant autour du chef de file de l’Encyclopédie qui paraîtrait prochainement, auquel on peut ajouter Marc-Antoine Eidous, Madeleine de Puisieux et peut-être aussi Philippe-Florent de Puisieux, s’activa dans un élan qui produisit traductions collectives comme textes plus ludiques. (n.a.fr., f° 18, Ars. 10301)

Bibliographie: Références bibliographiques supplémentaires :

Emanuel Boussuge, « Retour à Vincennes. Diderot et la politique de la Librairie autour de 1749 », La Lettre clandestine, PUPS, 2011, n° 19, p. 283-315 ; ici p. 294, 312, 313, 315 ; Emmanuel Boussuge et Alain Mothu, « Autour de Diderot. Archives policières de la Bastille, 1748-1749 », La Lettre clandestine, Paris, PUPS, 2011, n° 19, p. 317-364 ; ici p. 318, 324-327, 332, 349, 350, 357, 358, 362. (J.S.)